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Un ralentisseur pour réduire considérablement la vitesse des voitures

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Dans certaines villes, les automobilistes peuvent multiplier les excès de vitesse. Les collectivités installent alors des ralentisseurs pour contraintes les conducteurs à réduire leur allure. Ce sont des équipements incontournables qui garantissent la sécurité de tous les usagers. Le ralentisseur de route est abordable, il est facturé moins de 30 euros et il est facile à installer. 

Un ralentisseur modulable pour abaisser la vitesse

En fonction de l’espace à sécuriser, vous pourrez choisir le ralentisseur routier le plus adapté. Il est possible de choisir les éléments et vous recevez les fixations. Pour les parkings, les campings, les stations-service ou encore les industries et les hôpitaux, vous pourrez installer un tel ralentisseur disponible immédiatement. 

  • Il est bien visible par l’ensemble des conducteurs puisqu’il est jaune et noir.
  • Pour ne pas abîmer leur voiture, les automobilistes sont contraints de freiner pour réduire leur allure et passer l’équipement sans difficulté.
  • En anticipant le ralentissement, ils respectent plus facilement les limitations et les zones sont sécurisées.
  • L’installation n’est pas difficile, il suffit de repérer les emplacements pour les vis et de le fixer contre le sol à l’emplacement voulu.

Réalisé en caoutchouc, il se fixe avec des chevilles en nylon et des tire-fonds d’une longueur de 12 cm. Le poids pour chacun des éléments est de 9 kg. Si vous souhaitez acheter plusieurs ralentisseurs afin d’équiper quelques zones, nous vous invitons à demander un devis afin de chiffrer le montant de la commande. Il est important de noter que les ralentisseurs sont compatibles avec une charge de 40 tonnes. 

Il s’agit clairement du meilleur dispositif pour ralentir les véhicules qui ne peuvent pas excéder 15 km/h. Aux abords d’une école par exemple, cela permet de respecter le passage des piétons et de réduire considérablement tous les accidents. Si vous souhaitez enlever le ralentisseur, il suffit d’ôter les chevilles avec les tire-fonds. 

Julie
Julie
Je m’appelle Julie Charles, j’ai 27 ans, et je suis restauratrice de meubles anciens. Dans mon atelier, je recolle les morceaux du passé, je redonne du sens aux veines du bois, je répare sans effacer les traces du temps. Ce métier, exigeant et discret, m’a appris une chose essentielle : ce qui dure est souvent ce qu’on ne regarde plus. C’est exactement cette idée qui m’a poussée à créer Pitas — un magazine francophone dédié aux choses passionnées mais pas toujours visibles du web. Pitas, c’est mon carnet de bord numérique : j’y raconte les initiatives, les sites, les voix, les débats et les obsessions qui traversent la toile francophone, sans faire la une, mais qui construisent, doucement, une autre culture en ligne. Je m’intéresse à tout ce qui a une âme : – Les petits forums de niche, les newsletters passionnées, les micro-communautés engagées – Les débats sur le langage, les féminismes, les pratiques numériques alternatives – Les zones grises du web, entre artisanat digital et espaces de résistance créative Ce qui me rend unique ? En parallèle de mon métier manuel, je suis aussi marcheuse de nuit. Quand la ville s’endort, je sors. Je marche dans les rues désertes, j’observe les lumières, je pense aux pages web qui s’écrivent en silence, aux idées qui s’échangent à 3h du matin. Je crois que le web a sa part de nocturne — et que c’est souvent là, dans le calme et l’oubli, qu’on trouve les contenus les plus vrais. 📌 Ce que vous trouverez sur Pitas : – Des chroniques sur les dynamiques du web francophone : forums, réseaux, outils, plateformes émergentes – Des portraits de créateurs et créatrices numériques méconnus, artisans du contenu – Des réflexions sur le lien entre numérique et lenteur, attention, mémoire, soin – Des coups de cœur, parfois des colères, toujours argumentés – Une écriture intime mais informée, artisanale mais connectée Je ne cherche pas à décrypter les tendances. Je cherche à comprendre les passions. Bienvenue sur Pitas. Ici, on regarde l’écran comme on regarde une commode centenaire : avec soin, patience, et curiosité.

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