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Comment se réorienter vers le métier de chauffeur privé ?

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Vous rêvez de vous réorienter vers le métier de chauffeur privé ? Alors il existe certains prérequis à connaître ! En plus, il faudra forcément passer par une formation pour obtenir la carte professionnelle VTC. Alors quelles sont les étapes à suivre pour commencer à faire vos premières courses ? Voici ce qu’il faut retenir !

Une formation pour obtenir le statut de conducteur VTC 

Depuis la loi GrandGuillaume de 2018, le métier de chauffeur privé est encadré et demande systématiquement l’obtention d’une carte professionnelle VTC. Cette carte vous permet ensuite de vous inscrire directement sur le site du ministère de l’Environnement pour commencer votre exercice. Voilà pourquoi, une formation est absolument nécessaire pour se présenter à l’examen obligatoire. Pour cela, il suffit de vous diriger vers l’institut L’As des Formations qui vous propose plusieurs solutions de financement gratuites à partir de votre compte CPF, de Pôle Emploi, d’Agefiph ou de la Mission locale.

Concernant l’épreuve en elle-même, elle se déroule en deux temps : 

  • une épreuve théorique de 4 heures avec un QCM et des questions concernant la réglementation. Vous serez également amenés à répondre sur des questions de sécurité routière, sur votre maîtrise des langues et sur un minimum de gestion.
  • une épreuve pratique de 45 minutes qui analyse votre mode de conduite, le respect du code de la route, le contact avec la clientèle et la préparation de l’itinéraire.

Quel statut pour devenir conducteur VTC ? 

Si souhaitez vous réorienter vers le métier de chauffeur privé, alors il faudra forcément créer la structure juridique adéquate. Ici, vous aurez donc le choix entre deux possibilités avec la micro-entreprise ou la société.

La micro-entreprise pour le métier de chauffeur privé

C’est le régime le plus simple puisque vous n’avez qu’un minimum de comptabilité à faire. Pour débuter, c’est donc l’idéal, surtout si vous n’êtes pas forcément à l’aise avec les calculs. En plus, la création d’une micro-entreprise comme conducteur VTC se fait d’un simple clic auprès des services de l’URSSAF.

La société pour le métier de chauffeur privé

Si vous avez dans l’idée d’atteindre un certain chiffre d’affaires, alors vous pourrez vous tourner vers la création d’une SASU ou d’une EURL pour le métier de chauffeur privé. Ici, cela nécessite forcément certaines formalités juridiques et comptables. Voilà pourquoi, il est préférable de vous faire aider à l’ouverture.

Quels sont les prérequis pour devenir chauffeur privé ?

Pour devenir chauffeur privé, il faudra forcément investir dans un véhicule de standing pour accueillir la clientèle. Idéalement, elle doit contenir 4 à 9 places, avoir moins de 6 ans et afficher une puissance d’au moins 120 chevaux. Par ailleurs, il y a certaines conditions essentielles à remplir pour vous installer comme chauffeur VTC.

  • Être titulaire du permis de conduire depuis au moins deux ans
  • Ne pas avoir été condamné à une interdiction de gérer une entreprise
  • Être apte à la conduite avec la présentation d’un certificat médical délivré par un médecin agréé
  • Obtenir l’examen de la Chambre des Métiers et de l’Artisanat

Il ne vous reste plus qu’à vous inscrire à un programme de formation pour démarrer votre nouveau métier de chauffeur privé au plus vite !

Julie
Julie
Je m’appelle Julie Charles, j’ai 27 ans, et je suis restauratrice de meubles anciens. Dans mon atelier, je recolle les morceaux du passé, je redonne du sens aux veines du bois, je répare sans effacer les traces du temps. Ce métier, exigeant et discret, m’a appris une chose essentielle : ce qui dure est souvent ce qu’on ne regarde plus. C’est exactement cette idée qui m’a poussée à créer Pitas — un magazine francophone dédié aux choses passionnées mais pas toujours visibles du web. Pitas, c’est mon carnet de bord numérique : j’y raconte les initiatives, les sites, les voix, les débats et les obsessions qui traversent la toile francophone, sans faire la une, mais qui construisent, doucement, une autre culture en ligne. Je m’intéresse à tout ce qui a une âme : – Les petits forums de niche, les newsletters passionnées, les micro-communautés engagées – Les débats sur le langage, les féminismes, les pratiques numériques alternatives – Les zones grises du web, entre artisanat digital et espaces de résistance créative Ce qui me rend unique ? En parallèle de mon métier manuel, je suis aussi marcheuse de nuit. Quand la ville s’endort, je sors. Je marche dans les rues désertes, j’observe les lumières, je pense aux pages web qui s’écrivent en silence, aux idées qui s’échangent à 3h du matin. Je crois que le web a sa part de nocturne — et que c’est souvent là, dans le calme et l’oubli, qu’on trouve les contenus les plus vrais. 📌 Ce que vous trouverez sur Pitas : – Des chroniques sur les dynamiques du web francophone : forums, réseaux, outils, plateformes émergentes – Des portraits de créateurs et créatrices numériques méconnus, artisans du contenu – Des réflexions sur le lien entre numérique et lenteur, attention, mémoire, soin – Des coups de cœur, parfois des colères, toujours argumentés – Une écriture intime mais informée, artisanale mais connectée Je ne cherche pas à décrypter les tendances. Je cherche à comprendre les passions. Bienvenue sur Pitas. Ici, on regarde l’écran comme on regarde une commode centenaire : avec soin, patience, et curiosité.

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