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Produits électroménagers : pourquoi ne pas acheter vous-même des pièces détachées ?

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Avec les différentes crises que nous traversons actuellement, nous sommes nombreux à essayer de réaliser des économies coûte que coûte. Cela passe entre autres par une diminution de notre consommation en eau, en gaz et en électricité. Toutefois, cela n’est pas suffisant si vous jetez à la casse le moindre de vos produits électroménagers défaillants sans essayer de les réparer. Dans cet article, nous allons voir que vous avez tout intérêt à acheter des pièces de rechange vous-même.

Cela revient moins cher de réparer soi-même que de passer par le fabricant

Généralement, lorsque notre machine à laver ou notre lave-vaisselle commence à présenter des signes de fatigue, c’est après plus de 2 ans d’utilisation. La garantie est alors dépassée et si vous contactez le fabricant pour obtenir une réparation personnalisée, celui-ci vous proposera un devis assez salé. Vous vous direz alors qu’il vaut mieux acheter une machine neuve plutôt que de faire réparer l’ancienne, ce qui n’est pas totalement faux.

Toutefois, en achetant les pièces détachées vous-même sur un site comme Pièces Online, ce n’est pas la même histoire. Comme il n’y a pas le prix de la main-d’œuvre à prendre en compte, vous pourrez vous en tirer pour moins de 20€ s’il s’agit du fouet batteur de votre robot connecté qui ne fonctionne plus par exemple.

Vous apprendrez à effectuer des réparations de base, ce qui vous sera utile

L’autre raison d’apprendre à faire des réparations soi-même, c’est qu’il s’agit tout simplement d’une compétence très utile et recherchée dans la société où nous vivons. En prenant l’habitude de démonter les appareils que vous achetez et en sachant détecter l’origine de pannes simples, vous serez ensuite en mesure d’aider les personnes de votre entourage. Vous pourrez même lancer une activité en réparant des produits électroménagers défectueux qu’il vous sera ensuite possible de revendre. Pour résumer, vous avez tout à y gagner !

Julie
Julie
Je m’appelle Julie Charles, j’ai 27 ans, et je suis restauratrice de meubles anciens. Dans mon atelier, je recolle les morceaux du passé, je redonne du sens aux veines du bois, je répare sans effacer les traces du temps. Ce métier, exigeant et discret, m’a appris une chose essentielle : ce qui dure est souvent ce qu’on ne regarde plus. C’est exactement cette idée qui m’a poussée à créer Pitas — un magazine francophone dédié aux choses passionnées mais pas toujours visibles du web. Pitas, c’est mon carnet de bord numérique : j’y raconte les initiatives, les sites, les voix, les débats et les obsessions qui traversent la toile francophone, sans faire la une, mais qui construisent, doucement, une autre culture en ligne. Je m’intéresse à tout ce qui a une âme : – Les petits forums de niche, les newsletters passionnées, les micro-communautés engagées – Les débats sur le langage, les féminismes, les pratiques numériques alternatives – Les zones grises du web, entre artisanat digital et espaces de résistance créative Ce qui me rend unique ? En parallèle de mon métier manuel, je suis aussi marcheuse de nuit. Quand la ville s’endort, je sors. Je marche dans les rues désertes, j’observe les lumières, je pense aux pages web qui s’écrivent en silence, aux idées qui s’échangent à 3h du matin. Je crois que le web a sa part de nocturne — et que c’est souvent là, dans le calme et l’oubli, qu’on trouve les contenus les plus vrais. 📌 Ce que vous trouverez sur Pitas : – Des chroniques sur les dynamiques du web francophone : forums, réseaux, outils, plateformes émergentes – Des portraits de créateurs et créatrices numériques méconnus, artisans du contenu – Des réflexions sur le lien entre numérique et lenteur, attention, mémoire, soin – Des coups de cœur, parfois des colères, toujours argumentés – Une écriture intime mais informée, artisanale mais connectée Je ne cherche pas à décrypter les tendances. Je cherche à comprendre les passions. Bienvenue sur Pitas. Ici, on regarde l’écran comme on regarde une commode centenaire : avec soin, patience, et curiosité.

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