Date:

Share:

Tourisme en Normandie : que voir à Alençon ?

Related Articles

Lorsque vous visitez un lieu, vous aimeriez sûrement en profiter au maximum. Le secret pour ne rien rater, c’est de s’organiser et de connaitre les endroits phares. Ainsi, si vous partez à la découverte de la région Normandie, Alençon est l’une des destinations à ne surtout pas zapper. Cette commune a, en effet, beaucoup à vous offrir.

La particularité des lieux

Où que vous alliez, vous aimeriez, à coup sûr, découvrir ce qui fait la particularité des lieux. Ce qui rend Alençon populaire, c’est avant tout sa dentelle. La notoriété de cette dernière lui vaut le surnom de « Reine des dentelles » ainsi qu’une inscription au Patrimoine culturel de l’UNESCO. Sur le site orne tourisme, on peut lire que le passage au Musée de Beaux-arts et de la Dentelle est un incontournable. D’ailleurs, sur n’importe quelle plateforme dédiée aux voyages, ces endroits sont conseillés. À côté, Alençon est aussi un véritable sanctuaire, surtout pour les croyants. En effet, c’est en ces lieux — à la basilique d’Alençon plus précisément — que Thérèse Martin ou Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus vit le jour. Ce sont alors les deux lieux les plus spéciaux de la ville. 

Ce qu’il ne faut pas manquer

Bien que ce soit une ville riche en histoire, rassurez-vous, c’est également un endroit avec une certaine douceur de vivre. Au centre-ville, les rues piétonnes sont bordées de magasins pour les amateurs de lèche-vitrine. Pour les amoureux de la nature, une visite du Parc des promenades avec ses fleurs haut en couleur est obligatoire. Si vous souhaitez voir quelque chose d’original, passez par le quartier Saint-Léonard. Ici, le temps semble s’être arrêté, car la décoration des maisons est fidèle à celle du Moyen Âge. Faites la découverte des vieilles façades, escaliers à vis et balcons en fer forgé… Bien évidemment, lors de votre petite escapade, apprenez aussi à apprécier la gastronomie des lieux. Si cela tombe un jeudi, profitez-en pour voir le marché avec les produits locaux.

Julie
Julie
Je m’appelle Julie Charles, j’ai 27 ans, et je suis restauratrice de meubles anciens. Dans mon atelier, je recolle les morceaux du passé, je redonne du sens aux veines du bois, je répare sans effacer les traces du temps. Ce métier, exigeant et discret, m’a appris une chose essentielle : ce qui dure est souvent ce qu’on ne regarde plus. C’est exactement cette idée qui m’a poussée à créer Pitas — un magazine francophone dédié aux choses passionnées mais pas toujours visibles du web. Pitas, c’est mon carnet de bord numérique : j’y raconte les initiatives, les sites, les voix, les débats et les obsessions qui traversent la toile francophone, sans faire la une, mais qui construisent, doucement, une autre culture en ligne. Je m’intéresse à tout ce qui a une âme : – Les petits forums de niche, les newsletters passionnées, les micro-communautés engagées – Les débats sur le langage, les féminismes, les pratiques numériques alternatives – Les zones grises du web, entre artisanat digital et espaces de résistance créative Ce qui me rend unique ? En parallèle de mon métier manuel, je suis aussi marcheuse de nuit. Quand la ville s’endort, je sors. Je marche dans les rues désertes, j’observe les lumières, je pense aux pages web qui s’écrivent en silence, aux idées qui s’échangent à 3h du matin. Je crois que le web a sa part de nocturne — et que c’est souvent là, dans le calme et l’oubli, qu’on trouve les contenus les plus vrais. 📌 Ce que vous trouverez sur Pitas : – Des chroniques sur les dynamiques du web francophone : forums, réseaux, outils, plateformes émergentes – Des portraits de créateurs et créatrices numériques méconnus, artisans du contenu – Des réflexions sur le lien entre numérique et lenteur, attention, mémoire, soin – Des coups de cœur, parfois des colères, toujours argumentés – Une écriture intime mais informée, artisanale mais connectée Je ne cherche pas à décrypter les tendances. Je cherche à comprendre les passions. Bienvenue sur Pitas. Ici, on regarde l’écran comme on regarde une commode centenaire : avec soin, patience, et curiosité.

Popular Articles